Une bonne nouvelle : le virus diabolique va bientôt crever.
En attendant, je vous présente ce petit poème, souvenir de l'interminable
crise sanitaire, intitulé LES LARMES DU TEMPS MAUDIT :
JE VERSE MES PLEURS
SUR LA FLAMME DU CŒUR
JE VERSE MES PLEURS
SUR LA FLEUR DE L'ARDEUR
JE VERSE MES PLEURS
SUR LE FLOT DE L'HORREUR
Michel Sarrat (9 mai 2020).