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L'IVRESSE DU CADREUR.

Charles BAUDELAIRE disait dans un poème (ici raccourci) :

"IL FAUT ÊTRE TOUJOURS IVRE ... ENIVREZ-VOUS SANS TRÊVE.

MAIS DE QUOI ? DE VIN, DE POÉSIE OU DE VERTU, À VOTRE GUISE.

MAIS ENIVREZ-VOUS.

 

DANS LE MÊME SENS, LE PHOTOGRAPHE ROBERT DOISNEAU AFFIRMAIT :

"REGARDER, REGARDER, REGARDER JUSQU'À EN ÊTRE COMPLÈTEMENT

SOÛL DE REGARDER".

 

Doisneau aimait l'instantané, car le hasard était de la partie : la richesse d'un plan

n'apparaissait qu'au moment du tirage. Toutefois, il avait une préférence pour les photos

mises en scène (par exemple, pour le Baiser de l'hôtel de ville, il avait engagé deux acteurs) :

   https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Baiser_de_l%27h%C3%B4tel_de_ville

 

Charles BAUDELAIRE (Poème : "Enivrez-vous", dans "Le Spleen de Paris") :

http://blog.ac-versailles.fr/lespremieresdejouvet/index.php/post/23/04/2017/Charles-Baudelaire%2C-%C2%AB-Enivrez-vous-%C2%BB-Le-Spleen-de-Paris-ou-les-petits-po%C3%A8mes-en-prose-%281869%29

 

Robert DOISNEAU, œuvres :

http://www.bing.com/images/search?q=robert+doisneau+%C5%93uvres&form=HDRSC2&first=1&cw=1117&ch=467

 

 

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